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Petite poésie inspirée par la saison
Automne
L’automne est ma saison favorite
Le paysage se pare de couleurs
Du vert, du rouge, du gris.
Des caves s’échappent une odeur acre,
Le "nouveau" bouillonne,
Apprécié même par le diacre.
Des bouches papillonnent,
Pour goûter ce nouveau nectar.
L’automne est ma saison favorite.
Les jardins foisonnent
De vert, de rouge, de gris.
Les dernières batavias grisonnes.
Tomates, brocolis et épinards,
Attendent la dernière cueillette.
Les citrouilles tôt ou tard
Elles aussi, seront vedettes.
L’automne est ma saison favorite.
Les vergers regorgent de cueilleurs
De rouge, de vert et de gris.
Rivalités entre la reinette et la président
La comtesse de Paris et la belle de Vitry.
Toutes des nobles pour mon palais.
Au naturel, et pour les gourmands...
Tartes et marmelades accompagnent la régalade.
L’automne est ma saison favorite.
Les feuillus et les épicéas se parent,
De rouge, de verts, de gris.
Le chêne et le bouleau ne sont pas en retard.
Mélèze et aroles ne sont pas en reste
La forêt déploie sa robe sur la montagne.
Une fête pour mes yeux,
Dans ce pays de cocagne...
Le Valais !
MBB
Un clic sur mes photos pour voir en grand !
MBB Septembre 2011) Publié sur valais-community.com
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Le Valais est le canton le plus sûr de
Suisse romande !
La chasse en Valais
Le Cervin bientôt fermé au public
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Ci-dessous un commentaire en réponse à un article sous la plume de Jacques Kuhni et dont le titre est:
Remettez-nous une brassée d’impunité
Découvrez son article en copiant le lien
Remettez-nous-une-brassee-dimpunite
Voici mon commentaire...(En plus une image du net)
[Modestement, je me permet de vous donner mon ressenti en rapport avec ce qui se passe actuellement en Europe.
En effet, les bruits de bottes ne se font pas encore entendre. Tel un virus qui se propage « LA PEUR » est l’envahisseur et non pas les hommes. LA PEUR est à tous les étages, de la caste politique en passant par les citoyens. Elle est là sous-jacente, un sentiment très fort, une guerre qui se vit de l’intérieur. La peur de l’autre…
D’un côté comme de l’autre, chacun s’amuse à ce jeu du ;
» Qui sont-ils, que veulent-ils »[… Un peuple qui aspire à la liberté, des suppliques pour avoir à manger, un toit, un travail…Et la haine qui grandi envers cette Europe embourgeoisée qui ne pense qu’à son confort.
Un autre peuple qui a peur de perdre sa liberté. Des suppliques contre les autorités, pour des places de travail. De la haine envers se flot humain qui envahit nos villes et villages… ]Ce ne sont que des peurs non exprimées. Les politiques sont désarmés et ont, eux aussi, peur. Pensez donc, ils doivent résoudre un même problème. Et ça ils ne sont pas en mesure de le faire étant donné qu’ils ne connaissent que ce pourquoi ils ont été élu. Plus encore, ils sont désarmés et ont perdus une part d’humain dans leur actions et leur discours.
Dernièrement, je lisais un article d’un groupe qui se veut populaire mais au final, Il publie de la propagande malsaine. Ils stigmatisaient les réfugiers. J’ai demandé qui allait s’avancer pour leur coller une étoile jaune sur la poitrine. Les commentaires xénophobes ont cessé et je n’ai pas eu de réponse à ma question.]Cordialement, Marion B
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La guerre on n'y pense pas...Ou si peu.
La guerre c'est loin là-bas. Elle est pour les autres !
Lors d'un voyage en Ex-Yougoslavie au début des années 90. Ce texte m'a été inspiré par les événements qui allaient bouleversés l'Europe...
OUBLIÉ
Je reviens d’un pays…
Où les gens sont si chaleureux que l’on oublie le froid !
Je reviens d’un pays…
Où le peuple souffre en silence !
A deux heures de chez moi, de mon confort bourgeoisJ’avais oublié…oublié ma place
Balloté par les vents, je m’écrasais souvent
Le passé me paraît de glace
Je voudrai me réveiller, me bousculer
Pour ne plus oublierOublié ? Les bruits de bottes ?
Où se lève le soleil, c’est le réveil…
Naissance de nouveaux Despotes
Oublié ? Le canon qui tonne ?
Nous marchons dans nos rêvent
Porté par la trêveOublié ? L’heure du glas qui sonne ?
Tous ces gens, tous ces enfants…
Oubliés ? Refoulés dans nos mémoiresRegard dans le miroir
Et, revoilà l’histoire…comme avant !1990 MBB
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